MISE AU POINT : La Justice n’est pas une "haine", c’est le rétablissement de la Vérité
Il est pathétique de voir certains s’agiter sur les réseaux sociaux pour tenter de transformer un dossier judiciaire limpide en une persécution politique imaginaire. À Monsieur Flory Kabeya, qui s’improvise défenseur de l’illégalité au mépris de l’autorité de la chose jugée, le MDCO apporte la réponse suivante :
1. La fin de l'instrumentalisation politique
Invoquer le nom du Chef de l'État ou le besoin d'unité nationale pour justifier l'occupation indue d'un bien privé est une insulte à la vision du "Peuple d'Abord". Être un "digne fils" du pays ne donne pas le droit de spolier autrui. Le soutien aux institutions ne doit pas être un bouclier contre la loi.
2. Le rappel des faits juridiques
Monsieur Kabeya cite des dates et des références (1995, 1998, 2018) en omettant volontairement l'évolution finale du dossier. La Justice congolaise a tranché en faveur du rétablissement des droits de M. Gabriel Mokia. L’exécution actuelle n’est pas une "vengeance", mais l’aboutissement logique d'un État de droit où les arrêts ne restent pas des lettres mortes.
3. Le rôle de l’Inspection Générale
Prétendre que l’Inspection Générale des Services Judiciaires agit sous "injonctions" est une tentative désespérée de discréditer les institutions qui refusent désormais de se plier à l'influence des puissants. L'exécution forcée intervient là où la résistance à la loi est manifeste.
Le temps de l'impunité est révolu. Les gesticulations médiatiques ne changeront rien à la force de la Loi.
Pour le Président National Gabriel MOKIA :
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La Cellule de Communication du MDCO |
La Cellule Juridique du MDCO |
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